Bibliographie 13
1。 Introduction
Une amie s’est séparée avec son copain, puis elle était fâchée, dépressée, déespérée, et chaque fois rencontrée, elle m’assaillait de complaintes sur son ex-copain, en outre elle déjà me le téléphonait nombreuse fois。 Je sais que les scènes d’amour pour elle sont impressionnants, ils ont fait peut-être le serment de s’aimer à jamais。 Et ce qui est le plus inacceptable, c’est la réaction de son ex。 Pourquoi elle se plongeait de chagrins depuis longtemps alors que l’autre guérit si vite ? Pourquoi dans la plupart des cas, la femme est plus facile d’être blessée, plus difficile de disperser les ombres de la dernière relation ? Aujourd’hui, les vicissitudes de perception de mariage ne changent pas trop que celle de l’antiquité。 L’égalité sexuelle est superficielle。 Qu’est-ce qui est la plus importante chose pour les femmes ? Le mariage。 Avoir un compétence spécial, trouver un emploi satisfaisant, être extraordinaire dans son propre sphère, rien n’est important que le mariage。 Il y a un rapport dans le Figaro, c’est une offre d’emploi annoncé par Century 21 pour recruter un couple de gardiens, en écriant « elle : 1400 euros net mensuel ; lui : 1600 euros net mensuel »。 Face à cette inégalité, les critques se sont multipliées, poussant l’agence à supprimer l’annonce。 La vérité de l’évènement est évidente : le préjugé sexuel dans le recrutement。 Comme une étudiante spécialisée en français qui va terminer mes études, les phénomènes durant les demandes d’emploi tels que ce qui précède dans le texte sont communs。 En vie réelle, l’idéologie paternaliste est omniprésente。 La mise en place de parc-auto spécialisé aux femmes, dans les séries de James Bond, la héroïne s’attendrait à être sauvée par l’homme sans s’efforcer de se débarrasser。 Les affiches attirent les yeux des hommes en mtérialisant l’existence de la femme。 Quand les mots « femme » ou « féminin » sont utilisés, je ne me réfère évidemment à aucune immuable essence ; Après la plupart de mes affirmations il faut sous-entendre « dans l’état actuel de l’éducaion et des moeurs »。 Il ne s’agit pas ici d’énoncer des vérités éternelles mais de décrire le fond commun sur lequel s’enlève toute existence féminine singulière。
D’après moi, en tant qu’une femme, il ne faut ni se sous-estimer ni dévaluer l’homme,论文网
ce que nous devons faire, c’est de ne pas se compter sur l’homme。 On prend le mariage comme un assaisonnement dans la vie, on peut vivre à l’aise sans conjoint, on possède des différents loisirs et des amis intimes。 Vous avez le droit de rêver l’amour, mais à savoir que ce n’est pas tout dans votre vie。 Vous avez le droit d’offrir la main à un homme, mais assurez la capacité de gagner votre vie par vos propres mains。
2。 Les réflexions et les contributions sur le deuxième sexe
Beauvoir commence son essai par une considération existentialiste : s’il est incontestable que les femmes existent comme les Juifs ou les Noirs, autres minorités auxquelles les femmes sont parfois comparées, le mythe de l’éternel féminin est en revanche critiquable : aucune femme n’est immuable et son essence est indéfinissable。 Le problème est que l'homme est considéré comme l'absolu et la femme comme un être relatif : la femme est « l’autre », la négation, celle à qui il manque quelque chose。 Cette altérité proviendrait d’une tendance fondamentale de la conscience à exclure, à raisonner selon une dichotomie。 De plus les femmes vivent parmi leurs oppresseurs qui ont besoin d’elles et dont elles ont besoin。 Enfin le sexisme des hommes s’ajoute à leur soumission。 « Comment trouver l’indépendance au sein de la dépendance ? » s’interroge Beauvoir。